Pilar Detrez foolish heart when you're happy like a fool, let it take you over.
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Sujet: Re: ⊱ CONTEXTE. Jeu 30 Aoû - 21:38
skin and bones.
« sometimes, people come from the most unexpected place. »
Elizabeth, “Liz”: What are you? Max: Well… I’m not from around here. Liz: Where you from? Max points up with his index finger. Liz: Up north? Max points higher. Liz: You’re not an… an alien, I mean. Are you? Max: Well, I prefer the term not of this earth. Sorry, it's not a good time to joke. Yea, I am. Wow, it's weird to actually say it.
Elizabeth did not answer. She fixed the young man, looking desperately for some words to be pronounced, but nothing. She moved lips, unsuccessfully.
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Nouveau-Mexique, Roswell, 4 Juillet 1947. William « Mac » Brazel propriétaire d'un ranch dans une zone désertique et peu accessible à proximité de Roswell, découvre des débris d’un mystérieux engin sur ses terres. Confus et intrigué par l'aspect des matériaux, il décide de faire part de sa découverte à ses plus proches voisins situés à plusieurs kilomètres de là, la famille Proctor. Ceux-ci lui suggèrent alors de contacter le shérif de Roswell au plus vite, qui à son tour jugea opportun d'avertir la base militaire la plus proche. Après plusieurs examens supposément fructueux, une conférence de presse est organisée à la demande du colonel Blanchard commandant de la base de Roswell. Le lieutenant Walter Haut, porte-parole du Roswell Army Air Field (RAAF), y annonce la récupération d’une soucoupe volante écrasée près d'un ranch à Roswell, déclenchant un fort intérêt de la part des médias du monde entier mais aussi des férus de science-fiction en tout genre. Pourtant dès le lendemain le brigadier Ramey de la base de Fort Worth, où avaient été transportés les débris, publie un rectificatif annonçant que la soucoupe volante n’est en réalité qu’un simple ballon-sonde météorologique. Une conférence de presse est organisée dans la foulée, exposant aux journalistes des débris facilement identifiables de l'objet crashé, dans le but de confirmer officiellement la thèse du ballon.
Cependant, l’affaire ne s’arrête pas là puisse que trente ans plus tard, en 1978, le lieutenant-colonel retraité Jesse Marcel, soutien dans une entrevue avec l'ufologue Stanton Friedman que les débris montrés par le général Ramey, de nombreuses année auparavant aux journalistes, ne seraient pas ceux rapportés de Roswell. Après la diffusion de cette entrevue, son histoire circula d'abord dans le milieu des ufologues avant d’entrainer plusieurs enquêtes et livres évoquant la politique du secret imposée par les autorités militaires.
La notoriété internationale que lui a apportée l'incident a fait de la petite ville de Roswell une destination de tourisme ufologique relativement importante. L'ensemble de la communauté locale a "adopté les extraterrestres " de manière très volontaire. Et ils font maintenant partie du paysage local. L'un des endroits les plus célèbres est le lieu du crash, marqué par une plaque et un monument de pierres empilées. Les autorités militaires ainsi que le FBI quant à eux mènent encore l’enquête afin de connaître la vérité sur ce mythe qui soutiendrait que des extraterrestres se seraient joins à notre société, prenant apparence humaine pour ne pas être découverts. Ce qu’ils ignorent toujours. Pendant ce temps, ces étrangers pareils à nous tentent de mener une vie discrète et sécurisée tout en préservant leur secret, tandis qu’une parole de trop pourrait révéler leur secret et peut-être même leur couter la vie. C’est ici commence le combat entre la protection de leur espèce et celle de nos familles qui pourraient être à leur contacte à tout instant sans même que vous vous en doutiez. Ouvrez les yeux, Roswell pourrait cacher encore bien des secrets.